Comme chaque année, la direction a interrompu la production pendant quasiment une semaine fin octobre, le temps pour elle de réduire ses stocks, d’en déclarer un minimum et de payer le moins d’impôts possible. Ces mêmes impôts qui ont permis à PSA de toucher 200 millions d’euros au titre du CICE sur les trois dernières années. PSA s’enrichit sur le dos des travailleurs qui se voit maintenant dans l’obligation de travailler certains samedis gratuitement au détriment de leurs vies de famille. Cette semaine de chômage fiscal ne doit pas devenir une habitude tant elle représente une injustice !
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