Macron et ses relais nous vantaient la voiture électrique comme l’avenir de l’automobile. Au début de l’année 2020, deux usines s’étaient spécialisées en France : Renault à Flins et Mercedes Smart à Hambach. Les deux sont aujourd’hui menacées : c’est la preuve que ces nouvelles voitures sont un prétexte à la restructuration à grande échelle de tout le secteur. Pire, le referendum bidon de 2015 avait abouti sur une baisse de salaire des ouvriers de Smart (passage au 39h payées 37) contre des garanties pour leurs emplois... aujourd'hui menacés !