L’accord congé 2017 devait permettre aux salariés de partir en congé à partir du 20 décembre mais c’était sans compter sur la volonté du patron qui manie à la perfection les outils de flexibilité mis à sa disposition.
Devant fournir en urgence des moteurs, les salariés se sont vu contraint de rester à l’usine deux jours de plus après qu’un avenant à l’accord ait été signé par des syndicats très conciliants avec les patrons en l’échange d’une prime ridicule. Et tant pis pour ceux qui avaient prévus de partir en vacances… Une fois de plus les travailleurs ont subi de plein fouet la politique de réduction des stocks.