Après les faits une plainte avait été déposée par plusieurs famille et l’UNL pour « violence policière », l’enquête à été confiée à l’IGPN et qui sans surprise a débouché sur un non-lieu en juillet 2019.
Une nouvelle plainte a été redéposée pour obtenir l’ouverture d’une instruction et provoque aujourd’hui l’ouverture de l'enquête.
La nouvelle a immédiatement fait réagir le « syndicat » de police Synergie qui justifie l’usage de telle méthodes par le fait que la police aurait « mis fin aux émeutes ». En realité la police etait intervenue ainsi dans un contexte de mouvement lycéen national contre la reforme du bac, qui se deroulait au meme moment que le mouvement étudiant contre la hausse des frais d’inscriptions pour les étudiants étrangers et bien sûr le mouvement des « gilets jaunes ». Les propos de Synergie nous rappelle encore une fois que la police veut une impunité totale et le droit de recourir aux méthodes les plus barbares pour défendre les intérêts de ceux d'en haut.